Série L’Adultère : (Partie 9). Alexandra Remet Le Couvert Avec Hugo .4/4

Je m’appelle Alexandra. Petit récapitulatif : Je suis une femme de 42 ans, mariée depuis
15 ans, à Armand un riche industriel de18 ans mon ainé qui m’avait fait deux beaux
s. Comme je vous l’avais déjà expliqué lors de mon premier récit, j’étais un ancien
mannequin occasionnel posant pour de la lingerie féminine. Mes formes étaient
avantageuses : 1,69 m pour 58 kilos, une poitrine 85B. Avec mes cheveux ondulés châtains
sont coupés assez courts, mon visage, mes yeux bleu foncé, ma bouche un peu pulpeuse et
mon sourire beaucoup d’hommes se retournaient sur mon passage ou les plus téméraires me
faisaient carrément la cour. Encore aujourd’hui, j’ai conservé ma silhouette de
mannequin.

Depuis ma tromperie avec Hugo dans les toilettes du restaurant, J’avais le
sentiment qu’Armand surveillait mes faits et gestes. Pourtant, il n’avait absolument rien
vu, car il croyait que c’était avec l’ingénieur. Je n’osais donc plus répondre aux SMS du
jeune serveur et lui, voyant que je ne donnais pas suite, il avait arrêté de m’en
envoyer. Pourtant je me morfondais, je n’attendais qu’une chose, c’était de le retrouver.
Les choses c’étaient estompée avec mon mari, il n’avait pas donné suite au projet trop
coûteux des deux ingénieurs en informatique qui vivaient à plus de 200 kilomètres.
Cependant, un mois plus tard, il devait les rencontrer pour une toute autre affaire, pour
cela, il devait aller à Lyon mais n’avait pas voulu que je l’y accompagne.

Ce mercredi-midi, j’avais profité d’être seule pour changer de restaurant, j’étais
donc aller au « Plaisir Gourmand ». Ce qui m’avait permis de discuter avec mon jeune
amant Hugo. Entre deux plats, je lui dis que, ce que j’avais vécu avec lui fut à la
hauteur de mon attente. Lui m’avait avoué que notre étreinte fut beaucoup trop courte et
qu’il espérait revivre ces moments magiques.

Le soir même, dans son petit studio, il
s’était masturbé avec passion et jouis plusieurs fois, en revoyant dans sa mémoire,
l’image de mon visage, se remémorant mes hanches, mes seins, mes fesses dansant devant
lui. Qu’il était encore en érection depuis que j’avais pénétré dans la salle. Je laissai
mon esprit vagabonder, imaginant moi aussi les caresses de ses mains douces sur mon corps
tout en espérant profondément refaire l’amour avec ce jeune et bel étalon.
— Quel bonheur Hugo. Je ne regrette nullement de t'avoir choisi.

Il était d’une telle d'une délicatesse et d'une douceur juvénile que j'en restais
bouchée bée, ce garçon osait me dire aujourd’hui qu’il bandait pour moi, j’avais très
envie de lui demander de me suivre une nouvelle fois aux toilettes après le dessert. Mais
je comprenais qu’Hugo était dans une situation délicate, il venait d’être embauché et ne
pouvait pas faire ce qu’il voulait. Surtout que le patron connaissait très bien mon mari.
Je devais restée très discrète avec mon nouvel amant. Je m’avançai à lui dire :
— Tu veux que nous nous retrouvions après ton service ?
— Madame…Pardon ! Alexandra, j’adorerais cela bien sûr.
— Chez toi ça te va ? Tu sais que je dois faire très attention. Inscris-moi ton adresse
et donne-moi là avec l’addition. !

J’étais retournée au bureau en attendant l’heure avec impatience, j’étais partie
vers 15 h 30, un petit quart d’heure plus tard, j’étais chez lui, j’avais garé ma voiture
sur un petit parking à deux pas de son studio qui n’était pas très loin de chez moi. Cela
était pratique, je pourrais en profiter un maximum. Ce jeune homme était très soigneux,
rien ne trainait chez lui, c’était assez rare de nos jours de trouver un appartement d’un
célibataire aussi propre. Nous n’avons pas pris le temps de consommer une boisson, nous
avions tous les deux, besoin d’amour et surtout de sexe.
Hugo avait enlevé sa chemise et
déboutonné son pantalon, je fis de même, tout ceci en nous embrassant. Il fut surpris que
je prenne l’initiative de lui faire une petite gâterie, mais il l’avait bien mérité. Je
me mis à genoux, sur le carrelage et regardais son sexe tendu, en passant ma langue sur
mes lèvres avec avidité, je devenais de plus en plus coquine.
— Je vais te sucer et te faire jouir, mais préviens-moi avant d’éjaculer, je veux que tu
jouisses sur mes seins, pas dans ma bouche.

Sans répondre, il acquiesça de la tête et je commençai à titiller le bout de son
gland de mes doigts, étalant la goutte de liquide pré séminal qui s’y trouvait. Puis,
prenant la hampe à pleine main, je fis des aller-retours tandis que ma langue s’approcha
de son bout rosé, je léchais son gland et l’agaçais avec subtilité. Je l’avalai autour de
mes lèvres et l’enfonça de plus en plus profondément, ma langue experte tournait tout
autour avec douceur et sensualité. Il avait les yeux fermés, il gémissait en me prenant
la tête à deux mains. Alors que, poussant toujours plus loin ma fellation, j’avalais
entièrement ses 20 cm jusqu’à ma gorge, ma main gauche commença à malaxer ses bourses
pleines et gonflées, sur le point d’exploser.

Entreprenante, j’approchai un doigt de son petit trou pour titiller son anus pour
connaitre sa réaction. Son sexe se cambra sous la surprise, il bandait de plus belle, il
se contracta. Je compris qu’il fallait que je retire mon doigt et repris le lent massage
de ses couilles. Ma bouche salivait abondamment, je rejetais le trop plein sur sa hampe.
Finalement, Il me dit qu’il avait atteint l’extase, je me retirai et pressai de ma main
son sexe contre mes tétons érigés qui n’attendaient que sa semence. Ses couilles se
vidèrent par saccades, son sperme vint s’étaler sur mes seins :
— Que c’est bon ! Me dit-il.
Allons dans la chambre…

Je me relevai, je le pris dans mes bras, et l’embrassai passionnément. Je m’étais
étendu nue sur le lit, cette pipe m’avait également très excitée. Je le fis mettre devant
moi et prenant sa tête entre mes mains, j’avais plaqué son visage sur mon intimité :
— Fais-moi jouir mon petit cœur.

Des picotements descendirent le long de mes jambes, tandis qu’un feu prenait
naissance au creux de mes entrailles. Hugo admira la toison finement taillée, qui cachait
à peine mon jardin secret. De deux doigts, il écarta les grandes lèvres et observa ce
bouton du bonheur, pointant sa tête hors de sa protection. Il y porta sa langue en lui
prodiguant les premières caresses, superficielles mais suffisantes pour le pousser à
sortir encore un peu plus. Je me raidissais sur mes jambes en saisissant sa tête à deux
mains.

De petits gémissements s’échappèrent de mes lèvres entrouvertes quand mon
clitoris fut aspiré entre ses lèvres. Les yeux clos, les doigts refermés sur la nuque
d’Hugo, je m’abandonnais. J’avais l’impression que mon petit bouton avait doublé de
volume, gros comme une bille en verre. Sa langue, ses lèvres s’activaient, aidés de ses
doigts qui caressaient délicatement les lèvres et les abords de mon vagin dégoulinant.
Son pouce passait et repassait sur ma rondelle violacée, sans vouloir la forcer :
— Oui, Hugo enfonce-le, c’est bon encore…

Entre mes jambes, commençait ce doux jeu de langue que j’aimais tant, sans trop
attendre le plaisir commençait à monter. Mes gémissements de plus en plus rapprochés,
j’étais aux portes de la jouissance lorsqu’il appuya et pénétra son pouce, du liquide de
plaisir coulait dans sa bouche par petits flots et il s’abreuvait sans retenue à cette
fontaine de jouvence :
— Je vais jouir ! Plus vite Hugo, je viens…

Il accéléra sa succion, fit glisser le clitoris entre ses lèvres, sur sa langue, le
pouce me transperçait, ses va et viens dans le cul, me rendaient folle de joie, mes
gémissements s’accéléraient et se transformaient en « Ah Oui ! » Puis le silence était
tel que mes respirations et mes cris de plaisir retentirent dans tout le studio, mon
corps se mit à trembler de toute part, s’agita et mes jambes finirent par m’abandonner,
j’en avais inondé la bouche d’Hugo.
Je m’étendis sur le lit, mon cœur battait la
chamaille, mes yeux restaient fermés après cet orgasme suivi d’une multitude de petites
décharges qui m’avaient parcourue. Hugo m’observait, toujours agenouillé devant moi, il
souriait aux anges.

Je l’avais attiré sur moi, sa tête entre mes seins, nous nous parlions plus, nous nous
dévisagions pendant de longues minutes. Cette étreinte dura une éternité, le temps
semblait s’être arrêté. Je me rendais compte, au fil des minutes, que j’étais en plein
adultère mais je m’en moquait comme de ma première culotte. Mes mains parcouraient son
corps nu, s’attardant sur chaque détail de sa peau. Je lui caressais le visage, et sa
chevelure noire, puis avec douceur et tendresse les muscles de son cou et de son dos,
toujours plus bas, jusqu’à ses lombes. Mes mains baladeuses atteignaient finalement ses
fesses rebondies et musclées que je massais avec application.

La découverte du corps de ce jeune homme me faisait mouiller de plus belle et je
passais une main sur son sexe pour voir sa réaction. Il n’était pas insensible à mes
caresses il avait une nouvelle érection. Je m’approchai de son oreille et lui dis :
— Sodomise-moi maintenant.
À ses yeux grands ouverts et son regard ébahi, je compris qu’il n’avait jamais passé par
le sens interdit, je n’en fus pas surprise :
— Tu ne l’as jamais fait ? Ce n’est pas grave, il y a un début à tout.
— Mais Alex…Tu crois que je peux ?
— Oui ! Mon petit chéri encule-moi.

Ces termes crus avaient eu pour effet de le faire bander d’avantage, je sentais sa
longue queue se gonfler sous mes doigts délicats. J’avais pris plaisir à le décalotter
afin de découvrir le gland gonflé de sang qui avait inondé mes seins quelques minutes
plus tôt, et je parcourais les veines turgescentes qui sillonnaient sa hampe en lui
enfilant le préservatif.

Je pris une nouvelle fois l’initiative, je levai mes jambes et les avais reposées sur
ses épaules, j’offrais mon cul à mon amant sans aucune pudeur, je m’en étonnais toujours.
Hugo avait allumé en moi un feu qu’il me semblait impossible d’éteindre. Il était en
train de me transformer et il se pourrait bien que la petite bourge prude que j’étais,
cachait en réalité une personnalité bien plus immorale, « une cougar ». J’étais devenue
avec lui une vraie petite salope.

Mon petit trou serré déjà mouillé par ma jouissance et dilaté par le pouce d’Hugo
s’ouvrit rapidement sous ses caresses, toujours hésitant, le jeune serveur me regardait
faire, je lui annonçai que j’étais prête. Il plaça son sexe devant mon anus et posa son
gland sur ma rondelle et poussa doucement pour en forcer l’entrée. J’écartai mes jambes
au maximum, sa queue entrait de quelques centimètres dans mon cul trempé de désir. Je
serrais les dents, comme une catin, je me lâchais complètement.
— Vas-y pousse, défonce-moi !

De mes deux mains, j’écartais mes fesses pour lui permettre de coulisser
complètement dans mon rectum.
— Ouais ! c’est trop bon ! gémissait-il
— Pousse, pousse encore, vas-y ! Encule-moi, je la sens bien… Humm… ouiiiiii ! Oh mon
petit chériiiii !
Ses allers-retours combinés aux mouvements de mes doigts sur ma chatte avaient raison
de moi, j’inondais de nouveau le couvre lit de mon liquide intime. Il continuait ses
aller-retours en moi et arrivait rapidement à l’extase, à son tour.
— Oh non, tu ne peux pas jouir sur mes seins. Viens vite dans ma bouche.

Je m’agenouillai sur le lit et pris sa verge entre mes lèvres avides. Je l’aspirai
tellement goulument qu’il jouit presque immédiatement arrosant mon palais, ma langue et
mes dents. J’avalai son foutre laiteux et nettoyai avec application les quelques coulées
qui s’étaient échappées de la commissure de mes lèvres, en coulant le long de sa hampe.
Je me redressai et sortis de la chambre pour me diriger vers la salle de bain. Avant de
partir, je pris sa tête entre mes deux mains et passionnément, je l’embrassai. Je le
remerciai pour ce moment d’extase tout particulier.
— Reste encore un peu, avec toi, je n’arrêterais pas. Me dit-il.
— Non ! Mon petit chéri. Maintenant, je dois rentrer, tu auras encore l’occasion de me
sodomiser.

Nous avions convenu d’un rendez-vous pour le lendemain, avant de partir, j’étais en
retard et le serai encore tous les jours de la semaine, je ne voyais pas le temps passé
lorsque je faisais l’amour avec lui. Cette relation avait durée deux mois durant, de la
piscine, à son studio, je passais des heures formidables auprès de ce jeune étalon.

Deux faits marquants, étaient venus gâcher mon bonheur : Le premier fut Hugo. Il était
tombé amoureux de moi, ce n’était pas prévu ainsi et je ne voulais surtout pas que cette
relation soit découverte, il devenait de plus en plus pressant, m’appelait au téléphone,
m’envoyait des textos et voulait me voir le week-end ou les soirs. Il n’était plus assez
discret pour que je poursuive avec lui.

Le deuxième fait : Ce fut l’assistante d’Armand qui m’obligea à changer mon fusil
d’épaule. Cette garce invitée de dernière minute par mon mari, un midi au « plaisir
gourmand » fit une réflexion qui vint mettre un grain de sable dans l’engrenage si bien
huilé. Elle était à côté de lui, sa main que je ne voyais plus était sans doute sur la
cuisse de mon époux. D’un naturel vicieux, cette charmante, soi-disant amie dit en me
fixant dans les yeux tout en parlant suffisamment fort, afin qu’Armand entende :
— Tu as vu ce jeune serveur, comme il te regarde, j’ai bien l’impression qu’il en pince
pour toi. Il donne l’impression que vous vous connaissez.

M’avait-elle suivi, les après-midis, ce ne serait pas surprenant de sa part. Depuis ce
jour, j’avais fait l’amour avec Hugo une derrière fois avant de lui annoncer notre
rupture. Nous nous étions quittés en bons amis mais je fus triste de le voir pleurer dans
mes bras.

Six mois plus tard, il m’avait envoyé un texto me signalant qu’il s’était mis en
couple avec une très belle jeune femme de son âge et qu’il avait, grâce à moi, trouvé un
équilibre sexuel dont il était fier aujourd’hui. Aujourd’hui, j’attends la prochaine
occasion, je ne veux pas être infidèle absolument pour le plaisir de tromper mon mari que
j’aime. Je désire trouver l’homme qui me feras craquer une nouvelle fois lorsque mes
pulsions sexuelles me forceront à le faire.

Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos
commentaires, je compte sur vous. Bisous.


Si comme Alexandra vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par
Email j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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